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Les programmes offerts dans différents créneaux sont donc fonction de l’utilité sociale. Ils visent les hommes et les institutions, quadrillent les activités et impliquent les demandeurs.

La semestrialisation

 Le semestre, dans son sens restrictif et opératoire, est une période de quatre mois d’enseignement, et non pas de six mois comme le laisserait supposer le sens strict. Les autres termes servant à désigner le semestre sont la session ou le trimestre.  La licence est découpée en 6 semestres

Le master est organisé en 4 semestres Chaque semestre est affecté de 30 crédits.

La durée d’un semestre varie entre 14 à 16 semaines d’enseignement effectif, avec un volume horaire hebdomadaire compris entre 20 et 25 heures.

Méthodologie

 Approches théoriques et pratiques sur la formation permanente ;

  • Expérimentation des méthodes, lancement de la recherche-action et du consulting ;
  • Méthode participative  d’apprentissage et recherche pratique sur le terrain ;
  • Dialogue avec les apprenants par le jeu des questions-réponses.
  • Pas de monologue. Pas des cours magistraux.

Modes d'évaluation et le suivi

L’évaluation pour chaque unité d’enseignement est évaluée semestriellement soit par un contrôle continu et régulier, soit par un examen final, soit par les deux modes de contrôle.

Les formes d'évaluation

  1. preuves écrites,
  2. Evaluations en travaux dirigés,
  3. Evaluations en travaux pratiques,
  4. Sorties sur le terrain,
  5. Stages pratiques,
  6. Séminaires,
  7. Exposés, travail personnel ou, toute autre forme de participation.
  8. Evaluation périodique  des parcours de formation, du volume horaire, des horaires des cours, du contrôle des connaissances, des rapports humains au sein de l’Institution universitaire, des stratégies pédagogiques, des contenus des enseignements, etc.
  9. Construction d’un pont reliant l’Université et les milieux professionnels en les associant aux enseignements théoriques et aux évaluations périodiques des apprenants, en vue d’allier la formation théorique à ses aspects pratiques.
  10. Analyse des résultats de ces évaluations, en vue de la détermination des causes de réussite, et surtout des échecs. Une telle analyse permettra de connaître les causes réelles et d’y palier.
  11. Evaluation, par les apprenants, de l’enseignement dispensé.
  12. Organisation périodique des séminaires-atelier d’auto-critique des pratiques pédagogiques des Professeurs et des contenus des enseignements dispensés

Moyens humains disponibles

 L’offre de formation est indiquée, en fonction des moyens humains et matériels disponibles, la capacité d’encadrement, traduite par le nombre d’étudiants que l’offre accueille. Le nombre d’étudiants   prend en ligne de compte la capacité d’encadrement de l’équipe de formation.

Les enseignants

En dehors des enseignants à temps plein et temps partiels à l’Université  Panafricaine du Congo, les enseignements sont dispensés par des professeurs visiteurs et maîtres de conférences des universités étrangères (européennes et africaines) avec lesquelles l’U.PA.C a signé des accords   ainsi que par des praticiens assurant ainsi une plus grande diversité des approches et une complémentarité des méthodes d’enseignement. La liste des enseignants permanents intervenant directement dans le parcours  correspond dans une large mesure à la spécialité.

Moyens matériels disponibles

 Seront à séparer, les laboratoires de travaux pratiques de laboratoires de recherche et des ateliers. Ils seront individualisés dans l’offre de formation. Les laboratoires de recherche seront clairement identifiés dans les offres de master.

L’U.PA.C désignera  dans le canevas, pour les masters, le ou les laboratoires de soutien à la formation proposée, en indiquant l’intitulé du laboratoire et le nom de son directeur.

De même, toujours pour les offres de master, elle  mentionnera les projets de recherche en cours  qui sont en relation avec la formation proposée et le besoin des entrepreneurs.

Elle déterminera les terrains de stage et la formation en entreprise en relation avec l’offre de formation.

Enfin, l’offre  mentionnera :

  • la liste de la documentation disponible en relation avec la formation ainsi que le nombre d’apprenants.
  • Les espaces de formation alloués aux étudiants, en matière de travaux personnels, de travaux informatiques et de cyberespaces.

Moyens financiers

  1. Présenter l’institution universitaire comme une unité de production,  en vue de son autofinancement et de son autopromotion.
  2. Veiller, rigoureusement, à une gestion rationnelle et transparente des ressources générées ou acquises. Il en résulte le développement d’une culture de la rationalité et d’une culture managériale.
  3. Disposer d’un fonds subséquent d’appui à la recherche scientifique et technologique, ainsi qu’à la publication des résultats de cette recherche.
  4. Exploiter, rationnellement, les potentialités dont regorge le milieu d’implantation de l’institution universitaire.
  5. Elaboration d’un budget conséquent de professionnalisation des enseignements universitaires (stages de professionnalisation reposant sur un encadrement suffisant et efficace, descentes sur le terrain des activités, contacts avec les professionnels et les hommes de terrain, en vue de bénéficier de leurs expériences concrètes, vécues sur le terrain, visites guidées, travaux pratiques dans les ateliers et dans les laboratoires appropriés).

Partenariat, Monde du travail et professionnalisation des enseignements universitaires

  1. Intégration de l’Université dans la société, en général, et dans le monde du travail, en particulier, en mettant sur pied une structure permanente de concertation  en  matière des parcours de formation devant prendre en compte les besoins réels de la société et de divers milieux professionnels. L’Institution  universitaire est appelée à suivre de près, la situation du marché de l’emploi.

Cette structure permettra aux utilisateurs des diplômés universitaires d’apprécier, globalement, l’adéquate formation reçue et emploi exercé :

  • temps d’adaptation des diplômés universitaires à leur nouveau milieu de vie (vie professionnelle) et aux emplois exercés ;
  • leur compétence (leurs aptitudes intellectuelles à résoudre correctement les problèmes dans un temps record, leur sens pratique, leur efficacité) ;
  • leur rendement ;
  • leur esprit d’initiatives et de créativité ;
  • leur motivation professionnelle (examen de leurs conditions générales du travail : rémunérations, primes, autres avantages sociaux) ;
  • leur insertion sociale et leurs relations humaines au sein des organisations qui les utilisent ;
  • leur discipline et leur moralité.
  1. Planification par l’Etat des ressources humaines instruites en rapport avec les besoins réels et prioritaires du pays. Une telle planification permettra à l’Université de développer les filières de formation susceptibles de répondre à ces besoins et le nombre d’apprenants à y former ;
  2. Mise en place d’un observatoire-formation-emploi  au Ministère de l’Emploi, du Travail et de la Prévoyance sociale ;
  3. Mise en place d’un partenariat public-privé ;
  4. Mise à la disposition des diplômés universitaires d’outils de travail performants pour un meilleur rendement, au regard des avancées spectaculaires des sciences et de nouvelles technologies de l’information et de la communication. En amont, l’université aura formé des futurs employés à l’outil informatique et à ces nouvelles technologies.

La recherche

Le but principal de la recherche est de promouvoir la connaissance fondamentale. Lorsqu’un domaine de recherche est porteur de développement du savoir-faire, l’institution s’engage également, dans la recherche appliquée. L’Université  Panafricaine du Congo est présente dans la plupart des secteurs de pointe et s’est engagée, depuis quelques années dans des domaines pluri et interdisciplinaires.

Des regroupements au sein de structures fédératives de recherche favorisent, par la mise en commun de moyens et par la pluridisciplinarité, l’émergence de nouvelles thématiques, favorise la valorisation des résultats et contribuent à l’enrichissement des formations complémentaires. Le chercheur y est perçu comme un agent de changement social, comme un agent de développement. C’est une recherche pour l’action.

Coopération inter - Universitaire

Intensification  de la coopération (Sud-sud), c’est-à-dire entre les Universités africaines et de la coopération Nord-Sud, eu égard au caractère universel de la science et des technologies.

Activités culturelles et sportives

Les activités culturelles, sportives et scientifiques sont organisées en sections, clubs, associations ou écoles. Elles concernent les différents composants de la communauté universitaire. Une Sous Direction est chargée des Activités Scientifiques, Culturelles et Sportives et a pour mission :

  • de promouvoir et de développer les activités culturelles au sein de l’université.
  • de mettre en œuvre et de développer les loisirs.
  • de développer les équipes sportives de l’université, de gérer le sport de masse dans toutes ses disciplines.
  • d’organiser et de suivre les compétitions sportives au sein de l’université.

L’Université : un acteur culturel dans la cité

Les missions du service culturel sont de favoriser les partenariats entre la communauté universitaire, les collectivités, les associations et les professionnels, d’encourager au sein de l’université l’émergence d’initiatives et de projets de manifestations, de soutenir les projets culturels transversaux.

De plus, l’université ne doit pas négliger d’être un terrain d’accueil d’activités développées par d’autres, par exemple en favorisant les résidences d’artistes. L’accueil d’artistes représente en effet un enrichissement culturel pour l’université et fournit, à travers l’encadrement assuré par les artistes invités, un cadre structuré pour le développement et la valorisation des pratiques artistiques des étudiants.

Enfin, l’Université Panafricaine du Congo (U.P.A.C.) se veut le porteur d’un projet de constitution d’un Centre de culture scientifique et technique. Il s’agit de fournir au public (notamment aux collégiens), un outil d’appropriation des avancées technologiques et scientifiques et de leurs applications dans la vie courante. Cette démarche appellera un partenariat avec la Cité, pour la mise en œuvre  d’infrastructures et de logistique.